Le 16 décembre : LUNCH BOX
Synopsis :
Ila, une jeune femme délaissée par son mari, se met en quatre pour tenter de le reconquérir en lui préparant un savoureux déjeuner. Elle confie ensuite sa lunchbox au gigantesque service de livraison qui dessert toutes les entreprises de Bombay. Le soir, Ila attend de son mari des compliments qui ne viennent pas. En réalité, la Lunchbox a été remise accidentellement à Saajan, un homme solitaire, proche de la retraite. Comprenant qu'une erreur de livraison s'est produite, Ila glisse alors dans la lunchbox un petit mot, dans l'espoir de percer le mystère.
Le 18/11/2022, CENTRA DO BRASIL
Le 16 septembre : UN JOUR SI BLANC
Avec Ingvar Eggert Sigurösson, Hilmir Snaer Guönason
Synopsis
Sur la scène internationale, le cinéma islandais a clairement le vent dans les voiles depuis plusieurs années. On n’a qu’à penser à Rúnar Rúnarsson (Volcano, 2011; Sparrows, 2015; et Echo, 2019), à Grímur Hákonarson (Rams, 2015; The Country, 2019), à Dagur Kári (Virgin Mountain, 2015), à Guðmundur Arnar Guðmundsson (Heartstone, 2016) ou encore à Benedikt Erlingsson (Woman at War, 2018). Il faudra désormais ajouter tout au sommet de cette liste le nom de Hlynur Pálmason. Après des études à l’École nationale de cinéma du Danemark et un premier long métrage sublimissime tourné en danois, Winter Brothers (2017), Pálmason revient en terre natale pour s’attaquer à une histoire de deuil difficile qu’il ancre habilement au sein des vastes paysages typiques de sa patrie.
Le 21/10/2022 : RIZ AMER
Un film It de Giuseppe de Santis (1949) Durée 1h48
Avec Vittorio Gassman Doris Dowling Silvana Mongano et Raf Vallone
VENDREDI 21 OCTOBRE 20H30
Espace François Simon
(45 Rue Division Leclerc, Carolles)
Synopsis
Ne sacrifiant jamais le message à la rigueur narrative, De Santis livre un des sommets du néoréalisme et révèle des talents majeurs du cinéma italien.Riz amer est un film charnière dans l’aventure néoréaliste. Le film sort alors que le genre s’apprête à entamer un lent déclin symbolisé par la défaite de la gauche aux élections en cette année 1948. Giuseppe De Santis, sans doute un des réalisateurs les plus engagés du néoréalisme (il fit partie de la résistance italienne en lutte contre Mussolini et l’Allemagne durant la Deuxième Guerre Mondiale) l’avait sans doute senti venir, tant avec ce troisième film il trouve l’équilibre parfait entre message et destins individuels.